Responsabilité
La mondialisation des échanges, avec la création de groupes internationaux complexes à manager a conduit progressivement :
- à l’impossibilité pour les dirigeants éloignés de leurs équipes et de la réalité du terrain, de mesurer tous les impacts humains, sociaux, environnementaux de leurs décisions,
- à une distance managériale trop importante, source de déresponsabilisation,
- à des écarts de comportement majeurs, au détriment de salariés, de consommateurs, d’actionnaires, de fournisseurs, de sous-traitants, de l’environnement…,
- à des réactions de la part de la société civile qui a exigé que les entreprises rendent des comptes, et à des pressions consuméristes,
- à des mesures législatives et réglementaires exigeantes, de portée générale, qui s’imposent à différents degrés à tout type de structure.
Risque d’image, de réputation, risque judiciaire ou financier, exigences des consommateurs, de la société, obligations réglementaires, valeurs institutionnelles ou encore convictions personnelles du dirigeant sont autant de facteurs qui incitent aujourd’hui les organisations à reconsidérer leur politique et leur gestion, à modifier leurs méthodes et pratiques managériales, à revoir leurs priorités, à penser à plus long terme.
Agir, et s’engager dans une démarche stratégique de « responsabilisation » c’est décider:
- de pratiquer un management plus respectueux, plus équitable, plus cohérent, plus sûr,
- de préserver et de valoriser ses collaborateurs, partenaires, ses ressources, le patrimoine commun,
- d’arbitrer en faveur d’une performance globale à long terme qui satisfait toutes ses parties prenantes, qui les fidélise, qui renforce leur engagement, leur sécurité, leur santé, leur avenir, au détriment d’une performance strictement financière qui n’est profitable qu’à quelques-uns, sur une courte durée.
- AVEC AUDIENTUR RELEVEZ LE DEFI DE LA RESPONSABILITE DURABLE POUR UNE PERFORMANCE GLOBALE